L’informatique est un univers vaste. Il existe celle que l’on côtoie tous les jours, au travail, quand on répond aux mails du patron, à la maison quand on rédige un courrier, celle de la détente, quand on ajoute un article sur son blog. Il existe celle omniprésente que l’on ne voit plus, quand on retire de l’argent au distributeur automatique de billets, quand on paye par carte bancaire, quand on utilise son téléphone ip ou androïd. Il existe aussi celle que l’on ne veut pas voir, quand nos achats sont enregistrés dans une base de données d’étude de marché, quand un équipement électrique ou téléphonique peut détailler notre vie de tous les jours. L’informatique est aussi parfois un rêve, celle des informaticiens. Et ce rêve peut être très différent, que l’on soit obnubilé par la technique la plus récente, le marketing qui fait vendre du digital à toutes les sauces ou bien les bases solides, celles qui privilégient la machine qui fonctionne avec certitude. On ne met pas le même ordinateur dans une fusée, une banque ou un téléphone. C’est aussi un rêve historique, les automates d’Héron d’Alexandrie du temps de Jésus-Christ, n’étaient-ils pas des ancêtres de l’ordinateur ? Certains croient…